vendredi 25 mai 2007

Chère Ann,

J'ai un soupir rauque. Et pour tout vous dire, je comprends vos exigences dont le récit vient de me mettre en bandaison. Je suis un peu comme vous, j'aime bien sucer le bouton, bien le badigeonner de salive, j'alterne le suçage, le baiser profond et la pénétration dans une sorte de tournante des muqueuses. Je fourre aussi la langue dans le cul quand la partenaire autorise cette licence. Bien sûr, en suçant, il m'arrive de saisir les seins à pleines mains pour en triturer les mamelons doucement. Il est assez fréquent que mes partenaires jouissent dans ma bouche, je vous avais parlé de cette femme dont le clito géant avait explosé sous mes lèvres, elle m'en avait presque tordu le cou. Sion, bien sûr, je me suis bien branlé récemment au souvenir de votre voix, je n'ai d'ailleurs qu'elle pour fantasmer et les mots qui en sortent. Je ne connais pas votre visage et donc les territoires du fantasme sont sans limites. J'ai noté votre goût pour un certain luxe qui vous rend, passez moi et pardonnez moi l'expression, encore plus salope à mes yeux car il combine vos aptitudes à la débauche avec les exigences d'une bourgeoise installée. J'aime voir cohabiter ces contrastes.

Jacob

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