vendredi 27 juillet 2007

Il est venu...
Récit à suivre sur le blog d'Ann Arois d'ici quelques temps.

lundi 23 juillet 2007

FIN

Cher Jacob,

Vous me disiez il y a quelques jours qu'il était peut être temps que vous vous éclipsiez. Mais peut-être qu' est arrivé le temps où il faut cesser notre correspondance pornographique pour être les protagonistes réels d'une liaison pornographique.

Je vous propose de nous retrouver demain à Paris, à l'Hôtel Ambassador, à 21 heures. Il est temps pour nous de goûter cet indicible objet du désir. Et cela sera alors une autre histoire qui commencera. Si vous n'étiez pas au rendez-vous, le temps sera alors venu de ranger dans une boîte ces jolies lettres qui ont nourri nos fantasmes et garder tous ces mots en nous comme de doux souvenirs.

C'est Andy Wharol qui disait "l'amour fantasmé vaut bien mieux que l'amour vécu. Ne pas passer à l'acte, c'est très excitant".

À demain, donc, peut-être... Il ne tient qu'à vous dorénavant de choisir l'acte ou le fantasme.

Ann

Encore plus que vous ne l'imaginez. Et ne me dites pas que ça vous déplait.

Ann

Vous êtes une effrontée.

Jacob

dimanche 22 juillet 2007

Jacob,

Depuis ce matin le temps a passé... mais sachez que je me suis caressée avec un doux plaisir en pensant à vous et à votre mail de ce matin. Le plaisir fut grand et les cris intenses... et j'espère bien qu'un jour vous pourrez m'entendre de vive voix.

Ann

Il n'y a pas d'heure pour avoir envie. Et j'ai moi aussi envie.

Ann

Envie de vous baiser. Pourtant c'est le matin !

Jacob

J'ai souvent en tête pour ma part l'idée et l'image de ma bouche descendant doucement sur votre queue. J'ai tellement envie de ça, de vous sucer, de faire aller et venir ma bouche humide sur votre sexe, de caresser votre gland avec langue, de branler votre queue avec ma main.J'ai tellement envie de vous pomper. Je pense souvent aussi à votre torse contre mes seins. Je me demande si vous avez la peau brûlante, si vos mains sont froides ou chaudes.

Ann

J'ignore moi aussi comment cela finira. Parfois, j'imagine prendre un train pour venir vous bien baiser. Parfois je me masturbe. Mais j'ai toujours en tête et j'ignore pourquoi, l'idée et l'image de votre chatte, juteuse, toujours comme un gaspaccio de fruits frais.

Jacob

Cela ne m'intéresse pas. Il est gentil mais peu intéressant. Fantasmer avec vous ou échanger avec vous est autrement plus jouissif. Vous m'irritez quelquefois autant que vous m'excitez le plus souvent, et c'est cette exaltation qui fait que je ne me rassasie pas de cette relation avec vous. Prolonger la correspondance par un épisode réel serait le prolongement. Je ne suis pas certaine, à vrai dire, que vous en ayez totalement envie quelquefois mais pour le moment, ce que je vis c'est cette exaltation et je trouve cela jouissif. Je ne sais pas toujours percevoir ce qu'il y a dans votre tête. J'écris, je prends, je donne, je fais comme je peux sans savoir quand cela finira et comment.

Ann

Oui, mais de vous.

Jacob

Vous voulez donc jouir par procuration ?

Ann

Je souhaite que vous le séduisiez...

Jacob

samedi 21 juillet 2007

Finalement, il vous dit exactement ce que je vous écrivais il y a quelques semaines. J'ai le sentiment que la relève est assurée. N'est-il pas temps pour moi de me retirer Chère Ann, sur la pointe des pieds ? J'ai fait mon temps on dirait. J'aime bien cette idée que vous me larguiez pour lui. Vous savez pourquoi ? Pour le délicieux pincement au coeur qu'elle peut me procurer, comme toute relation qui s'achèverait.

Jacob

vendredi 20 juillet 2007

Jacob,

Vous faites allusion à cet homme que je croise au café et qui connaît mes textes. Celui-ci m'a demandé s'ils étaient autobiographiques. Ce à quoi j'ai répondu oui. Ce à quoi il a répondu qu'il ne savait pas s'il pourrait dorénavant me regarder de la même façon. N'est ce pas attendrissant ?

Ann

jeudi 19 juillet 2007

Chère Ann,

Je suis resté muet comme une carpe. Je suis sec. N’y voyez rien contre vous, au contraire. Je ne peux vous écrire que spontanément, ce que je fais aujourd’hui pour prendre de vos nouvelles et savoir comment vous allez. Je pourrais vous parler de langue fourrée ou de baisers mouillés mais ce ne serait pas du fonds du cœur. Je suis néanmoins curieux de savoir si vous avez dans vos filets quelque homme à faire jouir. J’adore quand vous entreprenez de donner du plaisir à une proie sachant que vous y mettez une ardeur communicative. Je pense bien à vous même si je ne vous submerge pas de mails. Ceci dit, c’est comme le vélo, vous écrire me fait immédiatement penser à la chose et il suffirait d’une ligne ou deux en plus pour que je sois prêt à la saillie !

Bien à vous.

Jacob

Jacob,

Si vous n'avez pas le temps, ou que l'envie vous a quitté d'écrire, auriez vous la gentillesse de me le dire ? ce serait assez aimable de votre part.

Cela m'éviterait d'envoyer des mails dans l'inter-espace sidéral érotique des Bermudes.

Ann

mercredi 18 juillet 2007

Cher Jacob,

Sauf erreur de notre part, notre service relations intenses a remarqué que vous n’avez pas utilisé votre ligne érotique verte depuis quelques jours. Compte tenu du nombre de bons points que vous avez a-cul-mulés, nous sommes heureux de vous offrir un bon cadeau pour une consultation spéciale de votre choix, ceci pour une durée illimitée. L’hôtesse en charge de votre forfait intense reste à votre disposition pour tout conseil concernant tout problème technique qui aurait pu survenir sur votre hot-line. Recevez, Cher Jacob, l’assurance de nos sentiments les meilleurs.

Ann

mardi 17 juillet 2007

Ne pas vous lire est une frustration qui augmente mon désir.

Ann

lundi 16 juillet 2007

Si je n'ai pas écrit, c'est que j'ai trop envie.

Jacob

mardi 10 juillet 2007

Oh ma belle salope, moi aussi je vais extraire ma crème en votre honneur.

Belle nuit chaude à vos entrailles.

Jacob

Bonne nuit Jacob.

Dormez bien. Soyez serein et heureux.

Je pense à vous et me ferai probablement jouir ce soir sous des caresses que j'imaginerai venir de vos bons soins.

Ann

lundi 9 juillet 2007

J'espère vous donner autant de bonheur en vous faisant fondre un jour dans ma bouche. Je laisserai aller mon plaisir pour le reste et que vous m'entendiez jouir à votre oreille, et pas dans votre oreillette cette fois.

Ann

Dire à une inconnue qu'on a envie de fondre dans sa bouche sa chatte, c'est très bon vous savez.

Jacob

Vous avez l'air heureux et si joyeux.

Ann

Je vous lèche et m'en barbouille comme un nourrisson de ses petits pots.

Jacob

Jacob,

J'ai tant pensé à vous ces deux jours où j'étais à Paris. Il me suffit quelquefois de seulement penser à vous pour ressentir au fonds de moi un appel du ventre, un appel à la jouissance et au plaisir.

Ann

J'ai tellement envie de vous ces temps-ci, de vos soupirs aussi et des contractions de votre chatte. Je bande déjà. Envie aussi de tirer votre culotte sans vous l'enlever après vous avoir bien chauffée pour pointer ma langue in fine sur votre con déjà chaud et gluant. Pardonnez moi mais je suis ravi de vous retrouver sous ma plume. Envie de vous bien bourriner.

Jacob

J'en suis très flattée. J'ai beaucoup pensé à vous moi aussi ce week-end dans des rêves de plaisir.

Ann

Ayant eu peur de vous perdre, j'ai eu ce week-end une extrême envie de vous baiser fort et de vous entendre couiner. Pardon pour le terme mais il ne me vient que celui là pour exprimer une forme de domination sans gravité. Oh mon Dieu, je donnerai cher pour passer une heure avec vous sur un grand lit avec comme seule contrainte que celle de vous bien faire jouir.

Jacob

samedi 7 juillet 2007

Jacob, vous serez toujours Jacob, qui aime sa femme mais qui rêve des autres, qui n’a pas besoin qu’une réalité existe pour se satisfaire mais qui est rassasié par le seul fait qu’il la sait possible.

Ann

mardi 3 juillet 2007

C’est le fantasme qui est très excitant mais c’est aussi la perspective d’une réalité qui est aussi excitante. C’est sûrement cette ambivalence qui nourrit le tout et qui fait que le risque à prendre est à la fois grand, effrayant, inconnu mais attirant et troublant.

Ann

Briser l'imaginaire.

Jacob

Cher Jacob,

J'ai conclu notre conversation d'hier soir en me faisant jouir bien évidemment. J'ai utilisé cette fois ci un gode que j'ai recouvert de gel pour pouvoir ainsi me pénétrer plus profondément. J'avais si besoin d'être remplie. Lorsque j'utilise ce gode, je mords le drap en gémissant parce que la pénétration est à la fois difficile mais aussi très excitante. Quand je me suis sentie rassasiée, je l'ai ôté puis me suis fait jouir avec les doigts en caressant mon clitoris. C'était merveilleusement bon. Je pensais à votre sexe au fonds de moi, me limant profondément et avec application.

Puis je vous demander ce qui vous vous effraie ?

Je vous embrasse.

Ann

lundi 2 juillet 2007

Bonne nuit, c'est trop d'excitation.

Jacob

Alors il faut fantasmer sur le réel et ne pas en avoir peur...

Moi aussi j'ai envie de goûter à ce qui sort de votre bouche : vos mots, votre langue.

Ann

Peut-être mais j'aime aussi jouir, vous savez, j'ai surtout envie de vous entendre crier en vrai.

Jacob

Bien sur que cela m'excite et m'effraie tout à la fois... mais quand je fais le pas vers le chemin concret d'une réalité réelle, c'est vous qui semblez reculer...

Envie de vous boire. Envie de vous entendre jouir à mon oreille.

Ann

J'adore quand vous faites votre étrite refusant de refaire le chemin vers cette éventualité qui vous excite et vous effraie, comme moi d'ailleurs, mais fantasmer sur le réel, j'adore. Je vous suce le petit.

Jacob

Je ne répondrais pas à cette question.


Ann

Empalée sur moi ? Moi j'adorerai, je vous sucerais les seins tout en limant par dessous. Hmmm quand ferons nous vraiment l'amour ? j'en ai très envie.

Jacob

Envie de vous attacher les poignets aux barreaux du lit pour mieux me servir de votre sexe empalée sur vous.
Envie de voir vos yeux lorsque je vous sucerai longuement.
Envie de vous faire jouir.


Ann

Mmmm, salope va.

Jacob

C'est empalée sur votre queue que je veux être.

Ann

Branlez vous sachant que vous êtes dans ma tête.

Jacob

Comme une chatte je viendrais d'abord lapper votre torse puis votre cou. Pour lapper ensuite votre langue, avant de mettre un glaçon dans ma bouche qui me rendra la langue et la bouche glacée avant de la mettre autour de votre gland. Faire descendre ma langue glacée sur votre queue bandée et chaude.

Ann

Envie de vous donner de grands coups dans la chatte, de vous faire du bien, de vous sentir toute chose, presque faible et quémandeuse. De sentir la douceur de votre peau, de vos seins et de vous donner tout le plaisir que vous méritez. Oh, comme je bande pour vous, vos vices, et votre envie de lapper mon sexe...

Jacob


Vous sucer avec gourmandise serait délicieux.

Ann

Envie de votre jus dans ma bouche et d'une pipe administrée par vous.

Jacob

Que de mots délicieux dans cette phrase.

Ann

Vous lire est délicieusement bandant, j'ai envie de vous.

Jacob


dimanche 1 juillet 2007

Cher Jacob,

Je n'ai plus de nouvelles de vous.

Je relis notre correspondance et je dois vous avouer qu'elle ranime en moi les désirs les plus intimes et les envies les plus coquines. La relecture de vos descriptions savoureuses de jeux de langues attise en moi un feu que j'ai peine à éteindre même en jouissant. J'ai pensé à vous hier soir. Deux jeunes femmes s'embrassaient à pleine bouche. Je me suis laissée emporter par ce fantasme et me suis plue à vous imaginer me regarder embrasser et lècher le con d'une autre fille pendant que vous regardiez à l'écart. J'ai imaginé ses doigts dans ma chatte et les miens dans la sienne tandis que je l'embrassais à pleine bouche. J'ai imaginé sucer ses doigts trempés de ma mouille. J'ai imaginé vous appeler au secours quand n'y tenant plus j'aurai besoin, et elle aussi, d'une queue chaude.Je vous ai imaginé vous mélanger à nous deux et vous ravir de notre bouche et de nos caresses avant que vous-même nous fassiez crier de plaisir, soulagées d'être remplies d'une queue dure.

Votre bouche me manque, votre queue me manque, vos mots me manquent.

Ann

jeudi 28 juin 2007

J'infirme ! en ce qui me concerne. Je n'ai pas eu la grippe depuis longtemps, mais j'ai le souvenir d'orgasmes très violent lorsque plus jeune je m'administrais des branlettes depuis mon lit de gisant. J'avais le scrotum très étiré par la fièvre et la verge chaude comme un tisonnier ! Il me revient d'avoir bien joui dans un semi coma très agréable. Et je dormais après du sommeil du juste. Vous devriez vous masturber sans crier pour autant, même si je conviens que c'est pour vous diminuer votre plaisir.

Soignez vous bien ma Chère.

Jacob

mercredi 27 juin 2007


Cher Jacob,

Je suis souffrante.Je fais donc la trève du plaisir solitaire.

Angine, fièvre et orgasme sont incompatibles.

Ann

samedi 23 juin 2007

Cessez de me narguer s'il vous plait. Vous jouez avec moi comme un chat avec une pelote. Voulez-vous donc me faire souffrir ?. Heureusement, j'ai ma messagerie qui fait office de cellule psychologique.

Mais quel homme se plaindrait d'avoir une sorte de numéro vert pour l'érotisme. Un numéro vert individualisé, exclusif.

Jacob

Quel compliment.
Je ne vous ferai plus souffrir. Quand vous aurez rechargé votre batterie, et que vous me demanderez de vous laisser un message, je parlerai tout bas et tout doucement et je vous raconterai des choses douces qui n’effraieront pas votre téléphone et qui vous berceront dans votre voiture. Vous verrez ainsi si vous me préférez en Blanche Neige ou Barbarella...

Ann

J'aimerais vous fesser. Vous êtes la salope suprême.

Jacob

Je ne crierai plus, Jacob, je vous le promets.
Je suis une méchante fille qui piège les hommes, qui fait imploser les téléphones.
Je range mon clavier.
Je rentre dans ma caverne de méchante loup-garoute.
Je retourne à mes activités de gentille fille.

Ann

Mon téléphone surchauffe maintenant.

Un appareil tout neuf.

C'est injuste.

Jacob

J’avoue que savoir que vous avez mis le haut parleur ce matin dans votre voiture pour écouter mon message, me donne un sentiment de puissance qui me valorise et me ravit tout à la fois. Comme j’aimerai lécher ce lait crèmeux dont vous parlez... Je suis une vraie chatte qui n’aime rien tant que lapper le lait.

Ann

J'ai écouté cinq fois dont une ce matin dans mon automobile. J'ai coupé France Info et j'ai mis mon portable en haut parleur. Pour ce qui est d'hier, soir, j'ai empoigné ma verge. Je venais de vous écouter. Il y a dans les cris laissés sur mon portable quelque chose entre deux âges qui vous place dans une catégorie incomparable, celle des femmes encore entre deux âges. Les intonations d'une pucelle d'une part et de l'autre, des graves rauques de la femme accomplie. Donc c'est avec la mémoire de cette musicalité féline que j'ai stimulé pour excitation. Assez vite, un lait crémeux est venu m'empéguer la main et je tombais ensuite dans un profond sommeil. Je vous remercie de vos grâces.

Jacob

"Comme vous criez bien"... Voilà une phrase que j'aime particulièrement.

Allez, dites moi, combien de fois m'avez-vous écouté ?

Je vous lèche où vous voulez.

Ann


Le terme est fort mais pas impropre (comme vous criez bien...)

Jacob


jeudi 21 juin 2007

Tribade : Du grec tribeîn, frotter, désigne depuis le XVIe siècle les femmes qui ont des relations sexuelles avec des femmes. Le terme, qui souligne une pratique sexuelle précise, prend au XIXe siècle un sens anatomique ("femme dont le clitoris a pris un développement exagéré et qui abuse de son sexe", Pierre Larousse, 1876). Se raréfie au XXe siècle.

Je ne réagirai pas au quart de tour. Je me contiens dans ma dignité de femme qui se frotte seule, qui en abuse mais qui aime ça.

Ann

mardi 19 juin 2007

Avoir choisi la porte du bureau est d'une grande délicatesse, sachez que je le note. Vous êtes une grande Dame Ann, vraiment. Mais il faudra bien que je vous saute, c'est écrit.

Je dois maintenant aller dormir.

Et jouir.

Bonne nuit, tribade !

Jacob

Vous voulez que je démarre au quart de tour ?

Et si je vous disais demain que je suis derrière la porte de votre bureau, vous auriez l'air fin, non ?

Ann

Si je vous disais que je suis à Rouen, que j'en ai envie, vous auriez l'air fine, non ?

Jacob

lundi 18 juin 2007

Je vous adore et je vous déteste à la fois.

Je vous ferai languir de ma bouche avant de la poser sur votre queue bien raide.

Ann

Vous démarrez au quart de tour quand je vous taquine. Je vais me le réécouter et me branler, c'est une victoire pour vous et à mon avis la perspective possible d'une commercialisation à grande échelle de cette capacité à déchaîner le désir d'un homme. Un CD Ann Arois pour rendre les hommes heureux ! Je viens de le réentendre je bande fort savez-vous ?

Jacob


Sachez que je n'avais pas envie d'être coupée par une voix informatisée qui m'aurait dit « le temps de votre message est écoulé ». Laissez moi le loisir d'avoir voulu ne pas penser que je parlais à un répondeur. De toutes façons, les premières fois sont toujours ratées, c'est bien connu. Je n'avais jamais encore joui avec un téléphone sans personne au bout du fil.

Ann

Oui. Vous avez raccroché un peu vite. Je ne peux vous donner la note maximale.

Il n'y a aucune raison d'être vexée mais vous venez de jouir, je m'apprête à le faire, il y a un monde entre nous ! pensez que dans quelques minutes je vais serrer ma verge comme si c'était vos hanches !

Jacob

Pour éclairer votre lanterne, sachez que je peux me retenir de jouir s'il le faut, mais quand je peux ne pas le faire et que je suis excitée comme au point où je l'étais, je sais exactement comment faire agir mes doigts pour me soulager assez rapidement et avec intensité. Il suffit que je sois très très excitée et profondément.
Ma jouissance vient plus facilement quand je suis seule. Avec un homme, il me faut toujours un moment pour que je lâche prise mais pas quand je suis seule.
Je trouve cela assez vexant que vous ayez pu penser que j'ai triché.
Quand il m'est arrivé de simuler dans ma vie, sachez que c'était avec des gens dont je n'avais rien à faire. Il ne me semble pas avoir montré ce genre de signe depuis le temps que nous échangeons ensemble ces mails.
J'étais dans une excitation maximale et frissonnante de tout le corps. Mon clitoris était gonflé et si sensible qu'il suffisait de quelques mouvements bien choisis pour le faire exploser.

Je suis un peu vexée en fait.

Ann

Merci, je vais jouir avec vous ce soir.

Jacob

Vous plaisantez j'espère.

Vous m'excitez comme une folle et vous croyez que plusieurs heures me sont nécessaires pour jouir alors que je suis dans un état d’excitation absolue ?!


Ann

Déjà ? vous avez triché, c'est du faux, je n'ose ouvrir mon tel.

Jacob

Ecoutez moi alors maintenant...

Ann

Partez jouir en sachant que de votre chant, je jouirai à mon tour.

Jacob

J'ai envie d'être un gâteau tendre, rond, que vous ayez envie de manger goulûment...

Ann

Envie d'être avec vous et de vous chouchouter, que vous vous sentiez bien, que vous fondiez, que vous soyez très femme, que vous vous frottiez sur ma cuisse, voir vos bas accrochés très haut à vos cuisse tout près des fesses, voir vos tétons qui dardent vers le plafond. Vous embrasser, mélanger nos salives, mouiller de la bouche comme devant un bon repas. Je bande, je coule aussi, envie de me fondre en vous.

Jacob

J'aurai les jambes très écartées et remontées, la tête sans doute sur le côté et la main gauche serrant les draps tandis que l'autre main caresse mon clitoris avec le drap. Les reins cambrés, de plus en plus...

Ann

Chère Princesse, j’aimerais sentir les parois de votre chatte quand vous crierez et demanderez grâce à vos doigts, j'aimerais aussi que vous enfiliez vos bas les plus doux pour me branler avec vos pieds, j'aimerais que vous me suciez énormément. J'aimerais que vous quémandiez ma liqueur pour la savourer, vous en enduire les mamelons, j'aimerais aussi vos derniers soupirs, ceux qui demanderont un baiser tendre pour accomplir votre félicité. J'aimerais aussi vous mettre un petit doigt dans le cul parce qu'il faut une cerise sur le gâteau !

Jouissez bien, longtemps et m'offrant toute l'étendue de vos gammes mais soyez sincère, je vous baise les pieds, le front, le cul, les lèvres et je bois déjà votre miel.

Jacob

Savez vous qu'en vous lisant j'ai la chair de poule. Des frissons partout. C'est signe de la plus grande excitation chez moi. L'excitation au maximum, la plus rare, celle du top du top. Je n'y tiens plus. je vais me caresser et vous faire partager cela sur votre téléphone.

Ann

Ce ne sont pas mes appels qui font le sel de tout ça, c'est la correspondance et la chambre qui nous attend dans votre hôtel de luxe, croyez moi, je compte bien jouir dans votre bouche, me barbouiller de votre jus, saisir dans vos traits ce qui a fait votre succès auprès des hommes les plus subtilement vicieux. Sans parler de ces baisers auxquels je veux goûter pendant que vous me branlerez d'une main agile. A moins que ce ne soit moi qui vous fouille. Caressez vous ma chère en imaginant que je suis derrière la porte, que je vais entrer et venir doucement vous faire l'amour, vous pénétrer fort pour que vous sentiez sur les parois de votre con ma queue volontaire qui frotte et brûle votre intimité. Je brûle de vous préparer par les coups de langue les plus intimes. L'écume de votre chatte sur mes lèvres et les vôtres comme le signe de la marée qui monte et nous mène vers les rives du plaisir. J'ai la trique !

Jacob

Le risque c'est qu'en vous laissant ce type de message, vous n'ayez plus l'envie d'appeler... ce sera facile après d'écouter simplement votre répondeur... mais je prends le risque de ce nouveau jeu érotique.


Ann

Mon portable est éteint, jouissez, soyez chatte et féminine, humectez votre bouche, vos lèvres, caressez vos seins et soyez sûr qu'un jour vous miaulerez sous mon étreinte.

Jacob

Vous fermez votre portable et je me caresse et jouis sur votre répondeur.
Est-ce cela le doux message que vous attendez ?

Ann

Et si j'éteins mon portable...vous me laisseriez un doux message ? envie de vous lécher très tendrement

Jacob

Pour ce qui est de m'entendre gémir et jouir, vous savez que ce bel instrument moderne qu'est le téléphone, c'est assez simple de le faire quand vous en avez envie. Mon plaisir est double quand je sais que vous écoutez....

Ann

Vous êtes vraiment une petite cochonne, j'ai hâte de vous minoucher le con et aussi de vous masser l'anus avec ma langue, très goulûment. Bon dieu, que j'ai envie de vous entendre gémir et jouir.

Jacob

Oui c'est ça que je veux, jupe noire, escarpins très haut, chemisier blanc, rouge à lèvres carmin, pas de culotte pour que je sente bien la mouille sur ma cuisse.

J'en ai envie, très envie.

Jacob

Pas de nuisette, je serai habillée. C'est beaucoup plus excitant de se branler sur votre cuisse, jupe retroussée, culotte enlevée, bas et escarpins conservés, les seins au dessus de votre bouche.

J'ai très envie de déboutonner votre chemise et dégrafer votre pantalon.
Je vais adorer vous faire l'amour.

Ann

Envie de vous traiter comme une s...

Je vais bien me branler ce soir grâce à vous, dites moi comment vous serez préparée sur le lit, quelle nuisette.

Jacob

Cher Jacob,

J'ai vraiment envie de vous faire jouir.
Vous parlez souvent de combien vous aimez lécher le con, sucer les seins etc... et si vous vous laissiez faire et pensiez beaucoup à vous. J'ai tellement envie de vous faire jouir, de la façon la meilleure et de celle qu'il vous plaira.

Ann


dimanche 17 juin 2007

Je languis de gémir avec vous.

Ann, je crois que j'aimerais assez que vous m'attendiez, cela vous
laisserait le temps de vous pomponner, de vous caresser, d'imaginer la
suite. Mon dieu comme je bande. J'ai envie d'entendre vos gémissements.
envie aussi que vous me branliez avec vos pieds gainés de soie, envie de
vous bouffer comme jamais.

Jacob

jeudi 14 juin 2007

Quand on mouille, on sent les lèvres de sa chatte un peu gonflées. Et puis ce sont de mini contractions au bord des lèvres, signe que les glandes de Bartholin se sont mises en action et qu’elles commencent à faire couler la mouille. Puis lorsque l’on est très très excitée, comme je le suis là à cet instant, les contractions viennent de chemins plus profonds, et je sens que quelque chose coule entre les lèvres de ma chatte. Si à cet instant je me touche, je sais que mes doigts seront recouverts de mouille transparente et douce.

Ann

Vous avez des fantasmes de dactylo ou c'est moi qui me prend pour un petit chef de service. Racontez moi ce que ça fait quand on mouille et qu'on est une femme.

Jacob

Vous êtes en érection. Comme j’aimerai me frotter à vous. Et vous sucer. Vous debout et moi assise sur votre fauteuil. Je ne pense qu’à un truc en cet instant : me faire prendre par vous en levrette, moi penchée, le torse contre votre bureau et vous debout derrière.

Ann

Un baiser presque baveux, deux bouches ventousées, deux langues qui se chamaillent et deux doigts qui dans un mouvement circulaire, massent le bouton sans l'irriter, deux doigts aussi qui vont à l'intérieur de la chatte et cherchent le raidissement de vos parois, deux doigts trempés de votre mouille, mon Dieu, je bande si fort, c'est injuste, tout le monde devrait pouvoir habiter Rouen pour y baiser sa rouennaise.

Jacob

mercredi 13 juin 2007

Mais j'accepterais volontiers, que croyez vous, que je suis bénévole ? envie aussi de la frotter dans votre raie et d'appuyer sur le petit histoire de vous donner de fausses joies. J'adore pousser sur le petit avec mon gland sans transformer l'essai.

Jacob