Ce ne sont pas mes appels qui font le sel de tout ça, c'est la correspondance et la chambre qui nous attend dans votre hôtel de luxe, croyez moi, je compte bien jouir dans votre bouche, me barbouiller de votre jus, saisir dans vos traits ce qui a fait votre succès auprès des hommes les plus subtilement vicieux. Sans parler de ces baisers auxquels je veux goûter pendant que vous me branlerez d'une main agile. A moins que ce ne soit moi qui vous fouille. Caressez vous ma chère en imaginant que je suis derrière la porte, que je vais entrer et venir doucement vous faire l'amour, vous pénétrer fort pour que vous sentiez sur les parois de votre con ma queue volontaire qui frotte et brûle votre intimité. Je brûle de vous préparer par les coups de langue les plus intimes. L'écume de votre chatte sur mes lèvres et les vôtres comme le signe de la marée qui monte et nous mène vers les rives du plaisir. J'ai la trique !
lundi 18 juin 2007
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