jeudi 14 juin 2007

Quand on mouille, on sent les lèvres de sa chatte un peu gonflées. Et puis ce sont de mini contractions au bord des lèvres, signe que les glandes de Bartholin se sont mises en action et qu’elles commencent à faire couler la mouille. Puis lorsque l’on est très très excitée, comme je le suis là à cet instant, les contractions viennent de chemins plus profonds, et je sens que quelque chose coule entre les lèvres de ma chatte. Si à cet instant je me touche, je sais que mes doigts seront recouverts de mouille transparente et douce.

Ann

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour Ann et Jacob,
j'ai découvert votre blog en recherchant une correspondance érotique.
A défaut de partager le charme et la tension des mots avec une inconnue, du moins au début, je me suis fait lecteur-voyeur de vos échanges.
Cette lecture m'a captivé, intrigué, excité.
Je vous remercie de partager cette corresonpance et en même temps, je vous jalouse.
Ma frustration de ne pas être l'un des partenaires de vos échanges à encore augmenté mon désir, c'est dur.
Continuez...
Christophe

Anonyme a dit…

ouh! cela sent l'essouflement.
la réponse qui se fait tardive
le mot qui renonce.
où est le désir?vite! rattrapez le il va s'enfuir.
ce serait tristesse