dimanche 1 juillet 2007

Cher Jacob,

Je n'ai plus de nouvelles de vous.

Je relis notre correspondance et je dois vous avouer qu'elle ranime en moi les désirs les plus intimes et les envies les plus coquines. La relecture de vos descriptions savoureuses de jeux de langues attise en moi un feu que j'ai peine à éteindre même en jouissant. J'ai pensé à vous hier soir. Deux jeunes femmes s'embrassaient à pleine bouche. Je me suis laissée emporter par ce fantasme et me suis plue à vous imaginer me regarder embrasser et lècher le con d'une autre fille pendant que vous regardiez à l'écart. J'ai imaginé ses doigts dans ma chatte et les miens dans la sienne tandis que je l'embrassais à pleine bouche. J'ai imaginé sucer ses doigts trempés de ma mouille. J'ai imaginé vous appeler au secours quand n'y tenant plus j'aurai besoin, et elle aussi, d'une queue chaude.Je vous ai imaginé vous mélanger à nous deux et vous ravir de notre bouche et de nos caresses avant que vous-même nous fassiez crier de plaisir, soulagées d'être remplies d'une queue dure.

Votre bouche me manque, votre queue me manque, vos mots me manquent.

Ann

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Pfiou ! On va toutes se faire une auto combustion spontanée si ça continue !

Allez Monsieur de la Chevalerie, Courage !

.
.

Por un beso
En la luna
Solo por un beso . .