Finalement, il vous dit exactement ce que je vous écrivais il y a quelques semaines. J'ai le sentiment que la relève est assurée. N'est-il pas temps pour moi de me retirer Chère Ann, sur la pointe des pieds ? J'ai fait mon temps on dirait. J'aime bien cette idée que vous me larguiez pour lui. Vous savez pourquoi ? Pour le délicieux pincement au coeur qu'elle peut me procurer, comme toute relation qui s'achèverait.
samedi 21 juillet 2007
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2 commentaires:
C'est tristounet cette histoire - quoique, comme faisait remarquer un autre lecteur, cela faisait un moment qu'on tournait en rond. Trois mois et déjà la panne? Pourquoi cette peur de "briser l'imaginaire", s'il est si limité... Je te suce et je te re-suce, et c'est devenu à peu près tout. Un peu de mouille, un peu de crème, on est vite tombé du signe du feu à celui de l'eau. Je ne connaissais pas le réseau en pompier si efficace.
...
no comment...
et pourtant
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