jeudi 31 mai 2007
mercredi 30 mai 2007
Jacob,
Puis petit à petit, je remarquais que mes amants me disaient que je suçais très bien leur queue et que je leur donnais beaucoup de plaisir. Et puis un jour, un d'eux s'est libéré en paroles en me demandant comment je faisais, quels mouvements je pouvais donc faire avec ma langue, sa queue dans ma bouche, pour lui procurer autant de plaisir. Il était marié. Il me disait sans cesse qu'il se branlait en pensant à ma bouche, que je ne me rendais pas compte à quel point c'était bon. Alors j'ai compris ce jour là que je faisais sûrement quelque chose que les autres filles ne faisaient pas. En fait, j'ai compris avec l'expérience que la différence majeure venait du fait que j'adorais faire cela. Je ne simulais pas. Et des discussions entre filles m'ont montré que bien souvent elles faisaient cela en se forçant un peu, comme un passage obligé.
Moi j'ai toujours aimé ça. C'est la façon la plus jouissive pour moi de donner du plaisir à un homme et en même temps j'en prends énormément. Plus cela allait, plus j'avais envie de parfaire ce que je faisais. En fait, j'essayais de me mettre dans la peau de l'homme. Je me demandais ce que j'aimerai si j'étais lui et je le faisais en inversant les rôles dans ma tête. Je le fais encore mais cela est plus automatique dorénavant. J'ai l'impression de ressentir ce que l'autre attend. J'ai l'impression d'être à l'intérieur de sa queue quand je le suce. J'essaie de penser à ce qui procure du plaisir à votre sexe lorsque vous sodomisez par exemple. Je serre donc ma bouche plus fermement pour vous redonner cette sensation dans la queue. Ou je mouille de ma bouche de salive pour vous redonner la sensation d'être à l'intérieur d'une chatte humide.
J'aime caresser avec la langue juste au milieu des couilles en appuyant un peu, je le fais aussi avec les doigts. Il y a une chose que je trouve très sensuelle et très sexuelle, c'est aller chercher la salive dans la bouche de l'autre en l'embrassant, de lui sucer la langue pour qu'il ait envie d'avoir ma bouche sur sa queue de la même façon. Il y a aussi une autre chose que j'aime faire, c'est lécher la paume de ma main à grands coups de langue et vous branler ainsi ensuite. J'aime faire tourner ma main d'une certaine façon autour de la queue.
En fait tout mon plaisir et mon imagination vont ensemble et je me mets simplement à votre place pour vous sucer au mieux. Comme vous lorsque vous léchez une chatte et aimez ressentir le plaisir de votre amante, j'aime ressentir le plaisir de mon amant, pour l'amener à se lâcher, être ce qu'il est au plus profond de lui quand il se branle seul, sans le regard de qui que ce soit, qu'il parvienne à être dans cet état alors que je suis avec lui, qu'il ne voit en moi que ma bouche, pour l'amener aussi à ce qu'il me désire. Le désir est la chose qui m'anime le plus.
Je les désire pour qu'ils me désirent. J'aime leur queue pour qu'ils aiment me la mettre ensuite.
Ai je répondu à votre question ?
Ann
mardi 29 mai 2007
Je me masturbe souvent, plus je suis en forme dans ma tête, plus ma cervelle m'emmène sur les territoires du fantasme. Vous êtes d'ailleurs un fantasme, c'est la nouvelle du jour. Je me suis toujours branlé, avec ou sans quelqu'un et je n'ai jamais eu à m'en plaindre : on jouit, on dort mieux. Quant aux femmes, comme elle mentent tout le temps je suis incapable de vous dire si ce sont des branleuses, des menteuses ou les deux à la fois. En revanche, vous êtes la première à me dire que vous pratiquez la chose souvent, rigoureusement et avec appétit. Ai-je répondu à votre question ?
dimanche 27 mai 2007
Chère Ann,
Vous m'excitez fort. Autant que le souvenir de vos écrits.
Jacob,
Je réponds avec grand plaisir à vos questions. Concernant le nombre de fois où je me caresse, que croyez vous ? Que je vous mens ? Et bien non, c’est la réalité. Je me caresse assez souvent. J’aime bien quand vous comptez les fois où je me masturbe. Vous faites l’étonné, mais vous rendez vous compte à quel point nos petits échanges sont sources d’excitation. Vous me décrivez vos talents de joueur de langue, votre sexe qui donne envie...
Ann,
J'ai plusieurs questions à vous poser. Vous vous masturbez autant que ça ? J'ai compté, depuis quelques jours vous en êtes à uen fois par jour... Et j'aimerais aussi que vous me racontiez cette première pipe. Enfin, j'aimerais, je vous le dis parce qu'il me semble ne pas avoir été aussi direct, j'aimerais que vous me suciez de votre façon qui m'a l'air si personnelle.
Je vous embrasse les seins
Jacob
Cher Jacob,
samedi 26 mai 2007
Jacob,
Une autre fois, lorsque je pratiquais le téléphone rose, j'avais au téléphone très souvent un psychanalyste. Il m'appelait assez souvent et se caressait avec grand plaisir au téléphone, me demandant de lui parler de diverses choses cochonnes. Je me suis caressée une seule fois avec lui au téléphone, pour lui faire plaisir mais sans jouissance. Un jour il me proposa de venir le rencontrer et me donna son adresse. Je n'y suis jamais allée. Mais un jour, plusieurs mois après, j'étais à l'Opéra et après la séance, je rencontrais un médecin que je connaissais bien qui était avec un de ses amis, et qu'il me présenta. Il me dit son nom en le présentant. Je sus alors que c'était ce même homme du téléphone rose. Nous avons dîné tous ensemble. Il ne sût jamais qui j'étais.
Ann
vendredi 25 mai 2007
Chère Ann,
J'ai un soupir rauque. Et pour tout vous dire, je comprends vos exigences dont le récit vient de me mettre en bandaison. Je suis un peu comme vous, j'aime bien sucer le bouton, bien le badigeonner de salive, j'alterne le suçage, le baiser profond et la pénétration dans une sorte de tournante des muqueuses. Je fourre aussi la langue dans le cul quand la partenaire autorise cette licence. Bien sûr, en suçant, il m'arrive de saisir les seins à pleines mains pour en triturer les mamelons doucement. Il est assez fréquent que mes partenaires jouissent dans ma bouche, je vous avais parlé de cette femme dont le clito géant avait explosé sous mes lèvres, elle m'en avait presque tordu le cou. Sion, bien sûr, je me suis bien branlé récemment au souvenir de votre voix, je n'ai d'ailleurs qu'elle pour fantasmer et les mots qui en sortent. Je ne connais pas votre visage et donc les territoires du fantasme sont sans limites. J'ai noté votre goût pour un certain luxe qui vous rend, passez moi et pardonnez moi l'expression, encore plus salope à mes yeux car il combine vos aptitudes à la débauche avec les exigences d'une bourgeoise installée. J'aime voir cohabiter ces contrastes.
Jacob
Jacob,
J'en reviens à notre discussion sur "La pipe dans tous ses états". Vous sucer en mangeuse que je suis sera à ma portée comme vous avez pu le constater. Mais je ne vous ai pas parlé de la position dans laquelle j'aime être pour au mieux déguster ce que vous m'offrirez. Au risque de vous décevoir, je ne suis pas adepte du 69. Je n'aime pas être concentrée sur deux choses à la fois, ou plutôt j'ai beaucoup de difficultés à le faire. Même chose si je suis à genoux près de vous à vous sucer, les reins cambrés et que vous me caressiez la chatte comme vous vous plaisiez à me le dire. Je n’aime pas être dans deux plaisirs mais j’aime me jeter corps et âme dans un seul. Ainsi je déteste me branler la chatte lorsque l’autre m’encule par exemple. Je préfère rester à ce que je ressens et l’assimiler au plus profond de moi-même. C’est une façon d’être soumise à mon propre plaisir et de parfaire mon excitation avec l’autre. Par ailleurs, j'aime aussi que mon partenaire soit également tout à son plaisir et ne pense qu'à cela pendant que je le suce. J'aime tant sucer que j'aime être regardée à le faire et je veux que l'autre prenne autant de plaisir à ressentir ma bouche qu'à voir mon plaisir à lui donner le sien. J’aime être au milieu des cuisses de l’autre ou encore mieux à cheval sur une de ses cuisses pour le sucer. Cela me permet lorsque je le souhaite de lui montrer combien je mouille et me frotter ainsi sur sa cuisse. J’aime aussi être dans cette position pour que s’il ne tient plus à son plaisir, et qu’il a envie de me prendre, il puisse le faire en venant de suite derrière moi et me prendre ainsi en levrette. J’aime aussi être sur le côté et sucer ainsi l’autre mais je préfère la position que je vous décrivais à l’instant car elle me permet de mieux maitriser les mouvements de ma bouche auxquels j’apporte un très grand soin. Et cela me permet aussi de remonter très vite vers la bouche de mon amant pour lui faire tout ce que je vous décrivais hier dans mon mail. J’aime branler la queue avec ma main d’une certaine manière et aussi sucer le gland pendant que je branle la queue de ma main. J’aime caresser les couilles, les soupeser, les serrer, les lécher, les sucer, les engloutir une à une même parfois. Mais j’adore m’occuper de ces couilles lorsque mon amant est à cheval sur moi et se branle en même temps. C’est un exercice que j’adore. Voir sa queue bandée, dure et dressée au dessus de mon visage et lui lécher les couilles en même temps est aussi bon que n’importe quel macaron. Mais j’aime aussi sucer assise et lui debout en le tenant ainsi par les fesses. J’aime qu’il me tienne le cou ou les cheveux. J’aime qu’il me regarde le sucer. Je pourrais écrire des pages sur la façon dont j’aime sucer. J’aime cela. J’aime ce qui vient dans ma bouche. J’aime sucer jusqu’au bout aussi. Avaler si l’autre en a envie. Ou simplement l’amener juste à jouir en retirant ma bouche et en le laissant couler où il veut. Je me demande quel goût vous devez avoir... Je me demande comment vous jouissez... En soupirant ou en gémissant ou en criant ?...
jeudi 24 mai 2007
Jacob,
Je vous promets depuis hier la description de ce rendez vous galant.
Je m'habillerais certainement comme vous le désirez. Je crois que vous attendre un peu va aiguiser mon désir.
Jacob,
Je vais vous dire comment j'aime sucer. Car si j'aime manger, j'aime de la même manière sucer. Je me tuerai pour un macaron à la pistache de chez Ladurée mais je me tuerai aussi pour sucer une queue bien faite et qui n'attend que ma bouche pour la mouiller et la lisser. Je suce comme je mange ce macaron, avec délice, avec un plaisir savouré au plus profond de chaque papille de ma langue. Vous m'avez décrit votre queue et bien sur je fantasme encore plus... Je rêve de la sucer, de la mouiller dans ma bouche, de la sentir bander dans ma bouche... Je crois que j'aimerai d'abord faire descendre ma bouche le long de votre queue, doucement, puis remonter jusqu'au gland en bougeant ma langue juste à l'endroit ou la caresse de mes papilles provoqueront en vous quelques frissons je l'espère... M'attarder sur le gland, le mouiller de ma salive, le caresser de mes coups de langue. Cesser là, gémir, vous regarder avec envie, remonter jusqu'à votre bouche, vous embrasser à pleine bouche, sucer votre langue pour vous donner envie à nouveau que je suce votre queue. Vous dire dans l'oreille que j'aime votre queue, son goût et sa forme, que j'aime vous sucer. Le dire d'une voix de chatte. Puis redescendre le long de votre queue, la lécher. Gémir encore de sa douceur dans ma bouche. La branler avec ma main d'une façon toute particulière. Vous dire encore que j'aime votre queue épaisse, qu'elle me donne envie de vous engloutir. Aller rechercher de la salive dans votre bouche pour mieux aller sucer à nouveau votre queue. Sachez aussi que je n'aime rien tant qu'embrasser à pleine bouche, vous manger la bouche pendant que je prends les couilles dans ma main, les serre doucement et les caresse. Pour ensuite redescendre les lécher quand elles sont bien gonflées et que je les sens prêtes à donner tout le sperme que j'aime tant avaler. Toujours avoir quelque chose dans la bouche, voilà bien mon malheur et mon plus grand bonheur aussi dans certaines situations...
Ann
Ann,
Vous me demandiez, l'autre jour comment je voudrais être sucé, j'y ai réfléchi car ça n'allait pas de soi comme question, après tout. Donc j'ai réfléchi et je vous avoue que la pipe qui me plairait bien c'est une pipe bavarde. on dit bavard comme une pie, et bien ce serait en l'espèce, bavarde comme une pipe. Tout en la lèchant, tout en chouchoutant le gland, tout en lappant les boules et tout en faisant coulisser vos lèvres que j'espère charnues, sur la hampe, vous vous interromperiez dans la besogne pour dire votre bonheur de sucer. Des Hmmm et des haaaa en cadence, et puis vous recommenceriez puis cesseriez pour dire à quel point la sucette est goûtue. Oui, il y aurait la mangeuse derrière la suceuse. car sans vouloir vous offenser, le lis vos autres blogs et ne puis me départir de l'appétit qui vous construit et vous définit, en partie.
Cher Jacob,
Quelle jolie comparaison que celle de l'instrument de musique. Vous apportez une nouveauté dans mon paysage érotique intime. je sais que vous n'êtes pas un dominateur. Vous avez une sensualité assez rare et je subodore chez vous un amant assez doué... cela me donne vraiment envie... Je suis heureuse de voir que nos voix nous excitent mutuellement. Faut-il vous avouer que je ne cesse de me caresser depuis hier en pensant à tout cela... ce matin encore... et ce soir en rentrant...
mercredi 23 mai 2007
Relisant votre dernier post, je voulais vous dire que je ne souhaite pas vous dominer. je n'y prends aucun plaisir. je ne suis pas un dominateur. En revanche, si jamais vous étiez un instrument de musique, je prendrais plaisir à jouer de cet instrument. je vous l'ai dit, vous entendre confesser que vous êtes dans tous vos états, vous écouter me faire le coup de la bavarde lubrique, de la chatte inspirée, de la libertine défaillante...j'adore. Vos histoires de culotte mouillée, cette façon que vous avez d'implorer d'être prise ou de réclamer qu'on vous murmure des cochonneries dans le combiné car vous avez le ventre en feu, j'aime beaucoup. Moi aussi d'ailleurs, votre voix me plait et me fait bander. Mais j'avoue que savourer votre jus à pleine lèvre est ces temps derniers une idée qui me court dans la tête.
mardi 22 mai 2007
Jacob,
Vous me demandiez hier comment j'imaginais un rendez vous galant. Mais en préambule, permettez moi de revenir sur un point que vous avez abordé, à savoir cette relation aux libertines du 18e siècle. Dans le roman libertin du 18e siècle, la vie en société est présenté comme un jeu de dupe dont les libertins maîtrisent les codes et les enjeux. La séduction y est un art complexe que l’on entreprend par défi, désir... La femme est identifiée comme une proie à entreprendre qui finit plus ou moins rapidement par céder devant son chasseur. On y trouve souvent deux formes de séduction : celle qui se fonde sur la tromperie, l’intention leurrante et qui fait du séduit la dupe du séducteur, et celle où au contraire il n’y a pas de dupe, mais deux partenaires complices, en parfaite connivence, également conscients du jeu auquel ils se livrent. Je ne doute pas que nous sommes dans le second registre. Il me semble que pour vous qui me parliez au début de notre correspondance de rendez vous masqué comme à Venise, ce rapport au libertins du 18e siècle ne peut que vous plaire. Et je reste persuadé que le plaisir sexuel au bout de ces sensations érotiques n’en sera que plus grand. C’est sûrement ce qui fait le charme maléfique de Sade ou de Laclos.
Ann
lundi 21 mai 2007
Merci de ces jolis mots que je prends comme un compliment. C’est tout à fait cela, c’est tout à fait ce qui me plait et ce que je cherche dans cette forme d’écriture épistolaire avec vous, et dans ce jeu érotique. C’est sûrement aussi beaucoup moi et ce que je suis. C’est ce que je cherche depuis longtemps, qu’un partenaire sache réceptionner cela et jouer ce jeu qui pour moi est la manière la plus subtile d’arriver au plaisir. Je trouve que vous êtes assez formidable dans ce registre.
Bien entendu. Mais à vrai dire, ce qui m'excite le plus dans cette histoire, c'est sans doute le fond de lubrique détresse que vous savez exprimer à la façon des libertines du 18e siècle. Cette espèce de dramatisation du désir (qui entre nous est sans conséquence) qu'on retrouve chez Sade et dans des écrits plus récents comme l'éducation de Chérubin. Cette manière dont vous savez appeler au secours est d'un autre âge. Elle donne à l'érotisme une dose maléfique qui me plait bien. Car à vrai dire, vous pourriez adopter un ton différent, du genre de quelqu'un qui serait satisfait d'avoir partagé des sensations fortes. Mais non, nous restons dans une sorte de dramaturgie calculée qui traduit chez vous un vrai penchant pour une vie aussi écrite que vécue. Je vous confesse que c'est l'aspect le plus excitant de cette affaire, la manière dont vous surjouez l'envie, le désir, pour être certaine, in fine, d'être désirée.
dimanche 20 mai 2007
samedi 19 mai 2007
vendredi 18 mai 2007
Cher Jacob,
Chère Ann,
Oh, vous me donnez plus qu'envie, dois-je aller aux toilettes me soulager...? J'y mettrai donc deux doigts, qui masseront en haut en bas tout en vous galochant comme un affamé ? Si c'est cela je dis trois fois oui. Je le vois cet hôtel ou nous allons baiser. Bien sûr vos mots m'excitent, ceux que j'ai lu seront les bienvenus, voudrez vous être une moins que rien quand votre croupe sera collée à mon bassin et que je frapperai vos fesses ? Mon dieu, je bande fort, envie de jouir avec vous, dans ces toilettes, de vous entendre venir. Ce jeu est terriblement excitant.
Je vous avoue que j'aime bien être chevauché surtout si je peux contempler le cul de ma partenaire, mais j'aime aussi être sur le flanc derrière elle, lui faire lever la jambe et la prendre comme ça, par derrière tout en lui roulant des pelles profondes, légèrement baveuses, goulues quoi, et qu'elle me le dise, qu'elle me dise « baise moi la bouche avec ta langue » et « la chatte avec ta queue », bien sûr, j'ai ces mots là, et je suis sûr d'aimer votre trou chaud et mouillé. Peut-être qu'en la même position, j'aurais envie d'une voie plus étroite, pour que bien enculée, vous puissiez vous occuper de votre bouton.
Vous avez vu assez juste... Je suis d’une nature généreuse en tous points. J’ai envie qu’on me dévore, qu’on me mange, qu’on me remplisse, qu’on me fourre et je n’aime rien tant que dévorer l’autre du regard, de la bouche et des mots cochons... Quelle est votre position préférée pour fourrer ?... Je n’aime pas être doigtée gentiment, j’aime être doigtée avec générosité et profondeur...
Ann
Ann,
Ma queue est droite, douce, un gland affirmé et à l'air libre et bien dessiné.
19 cm, assez épaisse. Comment j'aime être sucé? j'ai une prédilection pour le 69 mais je sais que certaines femmes ont du mal ne sachant très bien comment et pour quoi elles doivent se concentrer. Si je m'intéresse au plaisir féminin, je ne néglige pas le mien mais je dois dire que j'aime guetter chez les femmes qui le cachent souvent les faux airs de la lubricité et du plaisir qui monte. Comment je voudrais que vous me suciez ? Et bien en un 69 qui durerait jusqu'au bout ou presque, et des deux côtés. j'adorerais jouir par votre bouche et vous sentir de même couler dans ma bouche. Sinon, je vous imagine aussi à genoux, à mon côté droit. et je suis allongé. Vous sucez à genoux sur le lit tandis que vous cambrez vos reins. De ma main droite, j'agace vos lèvres et fouille votre chatte jusqu'à trouver le bouton. J'ai mouillé mes doigts et le comble du plaisir est alors pour moi de me sentir bien aspiré, bien mouillé de vos lèvres tout en guettant dans vos yeux que ce que je fais avec ma main vous procure autant de plaisir que le fait de me sucer. J'aime alors que vous me le prouviez en mouillant fort, en cambrant davantage votre cul. Peut-être alors que n'y pouvant plus je jouis, ou que vous demandez la levrette. Cette levrette, je l'aime non pas comme si vous étiez une chienne mais plutôt quand vous serez appuyée bien droite au mur. Je suis dans une position comparable et je fléchis les genoux pour bien remonter en vous ma queue. Peut-être qu'il vous reste alors encore ce jus que je sens couler sur la base de ma queue. Je m'agrippe par derrière à vos seins, embrasse votre cou ou vous baise fort la bouche en prenant votre langue. Evidemment vous gémissez, vous en voulez, car vous aimez cet instant où vous êtes pleinement offerte et où je n'ai d'autre envie que de vous faire plaisir car tel est mon plaisir. J'ai très envie, là maintenant dans mon bureau.
Ce jeu est dingue.
Jacob
jeudi 17 mai 2007
Jacob,
Vous me parlez de sucer ma langue pendant que je tiens dans votre main ce que vous avez envie de mettre dans ma bouche. Pour en revenir à votre bouche, sachez que j’adore lorsque l’autre me donne sa langue et que je la suce afin de lui montrer comment je pourrais ensuite sucer sa queue. J’aimerai toucher votre sexe bandé pendant que vous m’embrassez à pleine bouche. J’aimerai vous sucer ensuite avec tout le soin goulu que j’aime y apporter... Et d’ailleurs, Jacob, comment est votre queue ? Comment aimez vous être sucé ?
mercredi 16 mai 2007
Depuis le début de la soirée, je fantasme beaucoup, vous avez du vous en apercevoir. Moi aussi, un filet de quelque chose a dû souiller mon caleçon. C'est très fort cette façon que vous avez d'être gourmande. Ca donne faim, ça donne envie de vous prendre, de vous faire jouir. Je pense que vous êtes une nature généreuse, j'adore embrasser à pleine bouche tout en fourrant, en enculant ou en doigtant gentiment. J'aimerais aussi entendre vos mots cochons quand vous êtes sûre du plaisir que vous savez donner. Envie follement de vous. Et vous le savez et cela vous rend déjà heureuse. Tant mieux.
Je saurai, cher Jacob, me faire pardonner, j’en suis persuadée... Je sens que je suis mouillée car je sens les contractions dans ma chatte se rapprocher de plus en plus et je sais que c’est un signe qui ne trompe pas... Si je me touchais à cet instant (ou si plutôt on me touchait) moi ou lui se rendrait compte de ce qui coule en ce moment entre mes lèvres. J’ai besoin à cet instant d’être pénétrée, par des doigts ou par un sexe dur. Je n’aime rien tant que l’on me touche la chatte, sentir les doigts de l’autre l’ouvrir et la caresser. Cela me met dans des états que vous ne pouvez imaginer... Pour ce qui est de mes tétons, ils sont roses et sans grandes aréoles, et très durs si on sait les caresser. J’aime qu’on les suce à pleine bouche. Je n’ai connu qu’un homme qui jusqu’ici parvenait à me provoquer des frissons dans tout le corps en faisant cela.
A genoux ? si je vous avais comme ça devant moi, je saurais vous donner le moyen de vous faire pardonner. mais dites moi plutôt où vous êtes ? seule ? comment sentez vous que vous êtes mouillée, que vous avez envie de la chaleur et de la douceur d'une peau fine et brûlante sur les parois de votre chatte ? Parlez moi de vos tétons, aimez vous qu'on les lèches ou qu'on les morde ou qu'on les suce à pleine bouche en vous agaçant le bouton ? Et ce bouton, comment bande-t-il, est-il en bouche comme une cerise rougie de soleil ? Envie de aussi de sucer votre langue pendant que vous serrez dans votre main ce que je vous avais déjà mis dans la bouche, ma fois, tout cela est en plein désordre...
mardi 15 mai 2007
Dites donc Marquise, vous avez le don de vous gâcher le plaisir. Car après tout, pourquoi ne pas évoquer autre chose pour le plaisir d'y revenir. Croyez vous que je perds de vue les envies que je vous ai confessées et que vous n'avez pas commentées ? Dois-je craindre des sautes d'humeur qui rendraient illusoire le jeu auquel vous m'invitez sans cesse à coup de pipes intersidérales que l'eau me vient à la bouche ? Moi qui ces derniers temps ne pense qu'à vous boire pendant que vous me dégustez, voilà donc que vous me lâchez en rase campagne tout simplement parce que je commets le crime de fantasmer sans exclusive. Je vous croyais plus tolérante. Il est peut-être temps de rompre, à moins que ne vienne celui de jouir.
lundi 14 mai 2007
Cher Jacob,
J’ai vraiment l’impression à cet instant de jouer la Marquise de Merteuil en lisant vos envies sur cette jeune femme... Cela me flatte qu’elle soit ronde car je suis ronde moi aussi mais cela me vexe de voir que je ne suis pas la seule à vous faire fantasmer... Que vous dire ? Foncez sur elle si elle vous fait bander et vous me raconterez. J’ai le loisir de penser que nos petites conversations vous aideront à lui donner ce qui ne demande qu’à s’exprimer.
Chère Ann,
En ce moment, je fantasme sur vous et sur une jeune femme ronde, cette jeune femme m'excite en raison de sa poitrine et de son regard. Elle a ce qu'on appelle vulgairement une frimousse de coquine (pour ne pas être plus grossier encore). Je ne sais comment lui faire comprendre que j'aimerai passer avec elle le bon temps que je voudrais également passer dans votre bouche. Je lui lance de temps en temps quelques oeillades, comment savoir si comme vous, elle a de gentilles pensées et si le soir venu elle se caresse là où j'aimerais temps vous lécher ? Je bande, voyez vous. C'est malin, surtout derrière un bureau.
dimanche 13 mai 2007
jeudi 10 mai 2007
Chère Ann,
Mon torse est normal, je ne suis pas très bien fait, grand, légèrement grassouillet. De belles jambes et des mains soignées, moyennement poilues. Moi j'ai une question. Pensez-vous possible nos échanges entre d'autres personnes où sommes nous obsédés sexuels ?
"Pourquoi attendre ce moment de réalité pour entendre mes cris dans la jouissance, vous savez que vous pouvez les entendre quand vous voulez, vous suffisant d'appeler".
Vous êtes donc pressée que je vous appelle, c'est votre façon à vous de planter l'étendard sur une terre conquise ? Tiens, il a appelé, il s'est rendu, encore un que je peux mettre à mon tableau de chasse car il ne vous suffira que quelques roucoulades bien amenées pour m'amener moi là où vous voudrez. Et si c'était à vous de m'appeler pour me dire ce que je veux entendre, à savoir que vous êtes au bureau presque mouillée (ou toute mouillée) et qu'il vous faut juste entendre le timbre d'une voix satisfaite pour achever de tremper votre lingerie. Le feriez vous que je ne saurais au juste si vous êtes seulement lubrique ou encore et toujours manipulatrice.
Jacob
mercredi 9 mai 2007
Jacob,
Vous avez quelques ressemblances avec le Vicomte de Valmont qui ne me déplaisent guère mais j'ai de petits côtés de la Marquise de Merteuil... Et je ne saurai me soumettre à chacun de vos désirs sans obtenir quelque récompense.
Vous ne parlez jamais de ma bouche sur votre sexe ?... N'en avez vous donc pas envie?...
Pourquoi attendre ce moment de réalité pour entendre mes cris dans la jouissance, vous savez que vous pouvez les entendre quand vous voulez, vous suffisant d'appeler. Mais peut être avez vous raison, je ne crie pas de la même façon lorsque je jouis seule avec mes doigts et sous les coups de reins de mon amant.
A vrai dire, je vous imagine dans cette chambre d'hôtel, l'attente vous aura mûri et avant mon arrivée, vous aurez reçu quelques instructions friponnes par téléphone. La manière de vous vêtir, de vous tenir dans le lit à mon arrivée. Qui sait si je ne vous aurai pas préalablement donné une sorte de fil conducteur pour qu'étape par étape nous cheminions de concert sur les sentiers du plaisir. A vrai dire, j'ai très envie de quelques jeux de bouche où je convierais votre con, votre con et votre bouche dans le désordre, sans oublier ces seins dont vous vantez le volume. Je pense aussi aux bas et talons très hauts (les hommes sont tous pareils) que vous pourriez porter, au string que je pourrais écarter sans l'enlever pour mieux boire le miel que vous m'avez dit produire en abondance quand le ventre vous chauffe. Mais je me demande si ce dont je ne suis pas le plus curieux et gourmand, c'est de boire vos paroles d'abandon et d'entendre ce cri rauque (j'imagine, mais peut-être êtes vous une soprano en ces moments là...). Je suis curieux également de votre parfum et du grain de votre peau que j'espère fin. Je vois en songe cette chambre d'hôtel, aussi impersonnelle que nous la personnaliserons par la pornographie de nos galipettes. Entière pornographie. ce jour là vous aurez sans doute vaincu celui qui se cabre en ayant pour vous la satisfaction de l'avoir attiré entre vos cuisses et tout contre votre cul.
mardi 8 mai 2007
L'envie de savoir comment vous.... est trop forte. Vous exercez sur moi un désir de savoir auquel je me soumets. Je ferai tout ce que vous voudrez alors pour ce soir. En commençant par vous raconter comment j'ai passé cette nuit à gémir comme une chatte.
Pour être sincère, vous m'auriez quelque peu déçue si vous aviez appelé. Peut être que moi aussi j'avais envie que le désir soit plus fort... Vous m'aviez dit être excité mais pas encore assez pour ne pas résister à l'envie d'appeler... Si vous aviez appelé toutefois, j'aurai pris grand soin de vous... de vous et votre plaisir et je vous aurai peut être accompagné... Soyez certain d'une chose, je n'ai pas réussi à vous soumettre mais vous avez réussi à me faire fantasmer cette nuit-là. Nous avançons nos pièces comme sur un jeu d'échecs sur un tapis qui j'imagine plus tard n'être fait que de carrés blancs... J'ai d'abord imaginé quelle pouvait être votre voix quand elle est excitée. J'ai ensuite imaginé les mots que j'allais pouvoir vous dire pour que votre corps le soit aussi... Je savais que la tâche serait assez difficile. Je me suis allongée sous les draps blancs, et je lisais en attendant. Je me suis demandée comment vous jouissez, en gémissant, avec le souffle court, en silence, dans un soupir ?... et finalement ce n'est pas l'idée de vous entendre qui me donna envie de vous mais l'idée de vous faire entendre comment moi je jouis. Je me suis demandée si vous étiez vous même en train de vous caresser ou si vous étiez simplement occupé ailleurs. L'idée de vous imaginer vous caresser m'a fait mouiller. J'ai simplement écarté mes jambes et pris le drap avec les doigts, caressé de bas en haut mon sexe ouvert comme votre langue aurait pu me lécher ou vos doigts me toucher. J'ai fermé les yeux et il m'a suffit d'ouvrir grand les lèvres de ma chatte pour y laisser passer mes doigts à travers le drap et frotter mon clitoris. Mon corps est descendu, mes reins se sont cambrés et j'ai tenu les barreaux de mon lit fermement avec le bras qui restait libre. J'ai entendu mes soupirs de chatte. Je vous ai simplement imaginé en train de vous caresser à l'autre bout du fil. Je me suis laissée aller à imaginer ce lien entre nous et j'ai senti tout au fonds de moi des vagues de plaisir venir jusqu'à mes doigts. J'ai gémi puis crié, plusieurs fois en serrant le barreau du lit comme j'aurai aimé serrer votre poignet. Je rêve du jour où vous m'appellerez parce que vous savez que mon sexe ne tient plus sans vous entendre, que les contractions se feront trop fortes, que je gémirais avant même de jouir. Je rêve du jour où vous m'appellerez parce que votre sexe sera dur avant même de me parler et qu'il vous suffira de m'entendre pour vous délivrer d'une tension trop forte pour ne pas être vidé. Mais pour cela, j'ai besoin encore de fantasmer et de savoir comment vous vous branlez. Comment vous aimez baiser.
Si selon vos propres mots, je reçois ce que je n'aurais pas manqué d'ici là de mériter, sachez que chaque moment qui passe jusqu'à ce jour ne fait que renforcer l'appétit que j'aurai de bien vous utiliser et de déguster avec une saveur appuyée chaque partie de vous que je me plairai à lécher ou sucer.
Ann
lundi 7 mai 2007
Jacob,
J'avais raison, vous n'êtes pas facile à dominer... Mais quel plaisir de trouver enfin homme qui a compris ce que j'attends... Je savoure le désir... et rêve déjà au plaisir... Je vous raconterai cette nuit en solitaire... mais il vous faudra attendre... car moi aussi, j'aime attiser votre désir...
Bien à vous.
Ann
dimanche 6 mai 2007
Je me suis couché trop tard.
Je ne voulais pas vous appeler en pleine nuit. Et puis, je ne sais pas mais, j'ai l'impression que votre plaisir est aussi le résultat de cette façon très talentueuse de m'attirer dans vos délicieux filets. C'est charmant mais j'ai moi aussi envie de vous soumettre, de savoir que vous en avez très envie et de vous le refuser un peu, que vous me racontiez comment, vous avez traversé cette nuit là en solitaire, que vous réclamiez un peu, comme une chatte, pour que le jour où... je vous donne ce que vous désirez tout en venant chercher ce que vous me donnez. Moi aussi j'y ai pensé et qui dit que je n'ai pas abusé de vous en pensée... Je rêve aussi de vous trouver dans cette chambre d'hôtel, préparée et offerte pour y recevoir ce que vous n'aurez pas manqué, d'ici là, de mériter.
samedi 5 mai 2007
Bonjour Jacob,
Ann
vendredi 4 mai 2007
Jacob,
J'aimerai beaucoup goûter votre sexe, le sucer, le toucher, le branler. Vraiment, j'aimerai le sucer, vous sentir dans ma bouche. J'aimerai vous sentir sur moi, votre queue entre mes seins. J'ai envie de votre langue.
J'aimerai imaginer avec vous des scénarios de plaisir et les mettre en oeuvre. J'aimerai jouir avec vous, gémir et crier et vous entendre aussi. Vous dire les mots que j'ai envie de vous dire, vous dire les mots que vous avez envie d'entendre. Rechercher le plaisir avec vous. Il me faudrait sans doute plus que quelques heures dans une chambre d'hôtel pour vous emmener sur les tous les chemins du plaisir que j'aimerai explorer avec vous.
La chambre d'hôtel réservée à l'avance, les rendez vous donnés à heure précise à vous attendre me vont très bien dans ce que vous imaginez et m'avez raconté.
Je fantasme de me faire bien baiser par vous comme j'aime, je fantasme de vous faire jouir comme vous en avez envie.
J'aimerai vous dire encore les choses les plus détaillées sur ce que j'imagine avec vous. J'aimerai lire encore ce que vous imaginez.
Ann
jeudi 3 mai 2007
Ann,
J'ignore à quoi vous ressemblez, ce qui facilite toujours les choses mais n'allez pas penser que c'est un garde fou contre votre physique. Je n'ai jamais fantasmé sur des visages. Quand je les vois je les trouve beaux ou laids mais une fois seul, mes fantasmes s'épanouissent dans l'anonymat de celles qui en sont l'objet. Je visionne davantage des fesses, des jambes, des situations où je suis moi même en scène que des visages que j'aurais vu ou entre aperçu. Je vais même vous confesser que la prostituée à l'odeur forte dont je vous ai parlé était, je m'en souviens, très corpulente. ça ne m'a pas gêné car elle m'a donné l'impression d'aimer notre séance, vraiment. Sans doute étais-je venu la voir, également, avec une dose de fantasme que son physique généreux n'est pas parvenu à dissuader. Que voudrais-je vous faire ? Ma foi je rêve de scénarios qui prolongeraient cette correspondance, d'un synopsis rigoureusement écrit où vous m'attendriez quelque part, offerte, préparée et concentrée sur une série d'exercices qui n'aurait d'autre but que de donner une suite logique aux notices voluptueuses que vous avez publiées pour d'autres ou pour moi. J'imagine vos mots crus, le plaisir dont vous accuseriez réception en gémissant, la pornographie que vous joueriez pour moi dans une chambre d'hôtel à l'avance réservée. Je nous imagine, c'est amusant, masqués, comme en un rendez-vous à Venise. Vous pourriez même imaginer que je vous en adresse un autre et le prendre comme un amant de substitution avec toute la perversion subtile que je vous connais déjà. J'ai imaginé votre garde-robe. Bref, j'ai fantasmé de vous bien baiser comme vous semblez aimer qu'on vous baise.
Jacob
Jacob,
Oserais je vous avouer qu’il m’est aussi arrivé de fantasmer à partir de nos échanges, qu’il m’est aussi arrivé de me faire jouir en y pensant. Moi aussi je me plais quelquefois à être l’héroïne d’un scénario où je vous emmène prendre un thé, etc. Je me verrais bien vous écrire ce que j’aimerai que vous me fassiez, et j’aimerai beaucoup lire aussi ce que vous aimeriez que je vous fasse... Je suis de ces femmes accompagnées qui ne boudent pas leur plaisir quand le plaisir se présente...
Que vous dire sur le grain de ma peau ? Qu’il est doux... Seuls mes amants pourraient en parler...
Soyez libre avec moi Jacob, osez parler en tous cas. Je vous lirais et répondrais à tout.
mercredi 2 mai 2007
Ann,
Vidé ? J'aimerais bien, à vrai dire, je fantasme pas mal sur ce que vous me racontez car vous le faites bien ma fois. Pour ma part, je n'ai pas eu le temps de coucher...sur le papier des choses excitantes à vous dire. Je fantasme en réalité. Il m'arrive de devenir le héros des récits que vous m'adressez, dès lors vos mails prennent une dimension interactive que j'ose à peine vous dévoiler. Je m'imagine prendre le train avec vous, prendre le thé chez vous et tout un tas d'autres choses rigolotes du même genre. J'ai également réfléchi, si j'ose dire à la texture de votre peau. Bref, comment souvent, je suis le digne représentant de cette espèce d'hommes mariés qui aiment et savourent la nouveauté. Et puis à force de me parler de ce que vous aimez, je ne peux qu'être tenté de vous avouer ce que j'aimerais que vous aimiez que je vous fasse. Voilà sans doute pourquoi j'ai tardé ces derniers jours plus accaparé par l'image de l'action que par l'écriture de l'idée d'agir.
Bien à vous.
Jacob