vendredi 27 avril 2007

Ann,

Vous me demandez si l'intérieur du sexe de mes amantes était différent de l'une à l'autre. J'ai en fait trois souvenirs. Le con de Nadia était doux et animé d'une énergie musculeuse que je sentais lorsque j'y introduisais la langue, comme s'il s'agissait d'un pétrin qui malaxait ce qu'on y mettait. Je me rappelle aussi ses soupirs et sa tension extrême. Cette fille aimait le plaisir. Dès qu'on la touchait, elle se laissait aller et fermait les yeux, c'était étonnant. j'avais l'impression d'être une sorte d'amant magnifique. En fait, c'était elle qui était très sensuelle. Moins agréable est le souvenir d'une grande italienne connue il y a 11 ans. Je m'étais persuadé qu'il fallait tomber amoureux d'elle à cause de son accent, de sa beauté et de son pays d'origine. Elle était de Florence. C'était romantique. Sauf qu'un soir après avoir dansé une demi-heure dans une boite brésilienne, nous sommes partis chez moi. Son sexe était très poilu. Comparé à celui de Nadia, c'était un vrai balai brosse. Et puis lorsque je l'ai pénétré, je me suis aperçu que l'entrée de son con était coudée, légèrement bien sûr, mais coudée quand même. Elle était grande aussi, un mètre soixante quinze au moins. Je ne sais pas si c'est la taille ou la forme du sexe, mais je n'ai pas aimé cette première nuit d'amour et j'ai tout fait ensuite pour refuser la suivante. J'ai bien sûr eu d'autres aventures après elle jusqu'au jour où j'ai rencontré ma femme, sa taille moyenne et son con, bien fait pour moi. Ma femme est également assez satisfaite de la manière dont je la remplis mais ce sont des propos de femme. J'ai prix l'habitude d'entendre les propos de femme d'une seule oreille. Non pas que j'y sois peu attentif, au contraire, mais je crois qu'avec les femmes, il faut écouter une chose tout en pensant à une autre, comme si leur parole, notamment en ce qui concerne la luxure, devait toujours être entendu selon un nuancier infini. Mais pour revenir à votre question, je n'ai pas trop pensé, ces dernières années, à la texture de ces sexes. Je suis en revanche intraitable sur leur odeur car j'aime fouiller la chatte avec ma langue, badigeonner le bouton avec ma langue et j'avoue avoir du mal à supporter une odeur trop forte. J'ai connu comme cela une prostituée rencontrée sur internet. C'était une femme forte et cela m'attirait. Elle me reçoit gentiment chez elle et je la sens immédiatement excitée par mes premières caresses. J'entreprends de goûter son jus mais voilà, elle avait une odeur forte. Elle le savait et s'en voulait. Je l'ai mise à l'aise, les sudations comme les sécrétions sont l'histoire de chacun. Mais je n'ai pas pu sucer son con. C'est dommage, j'adore gâter ainsi mes partenaires, car je suis aux premières loges de leur plaisir moi qui aime tant boire le miel. Dites donc vous m'en faites dire de ces choses. Un dernier détail avant de vous quitter, ça n'a rien à voir avec le reste mais puisque nous sommes dans le suçage, j'ai aussi le souvenir d’une très jolie black, plantureuse et lascive que je me souviens avoir sucé avec beaucoup de plaisir. Son clitoris avait la taille d'une noisette, c'était très agréable. Elle a joui fort en me saisissant la nuque. J'aime ces femmes qui ne boudent pas leur plaisir quand je m'efforce de leur en donner.

A bientôt

Jacob

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